Grève à Libération Le personnel du quotidien Libération a reconduit, à l'unanimité, moins huit abstentions et deux votes contre, la grève commencée lundi pour protester contre un plan prévoyant 52 suppressions d'emploi. LIBERATION.FR : mardi 23 novembre 2005 - 14:20
La dure loi du marché. La direction de Libération, pour améliorer sa rentabilité et lutter contre les "gratuits", se voit obliger d'opérer des ruptures dans sa formule et dans son modèle économique. Comment ? Par le lancement du quotidien en formule bi-média. Elle s'articule autour d'une édition papier et de plusieurs éditions quotidiennes électroniques. A terme ce sera une équipe unique qui travaillera sur une version 7 jours
sur 7, 24 heures sur 24, utilisant l'écrit, le son, l'image et le film,
du quotidien. Pour l'instant, ce lancement est un succès, avec
une augmentation de plus de 30% des visites. Bien entendu, ce n'est pas la seule solution. Une nouvelle version papier de Libé verra le jour dans un an, un avenant relatif à l'application des 35 h est en cours de négociation et des nouveaux outils de travail seront mis en place. Pourtant ce n'est pas suffisant. Dans une économie libérale, il y a une solution encore plus simple : le licenciement. 52,5 postes (excusez du peu), 14 externalisations et 38,5 par suppression pure et simple.
I would like to offer an exchange of links between your website and ours, which have excellent Google rankings.
If you find such a proposal interesting then please send me details of your sites.
However, if you are not interested please accept my apologies for taking your time.
Best regards,
Caroline Trotter
Bonjour!
Je voudrais vous offrir une echange des renvois entre votre site et la notre qui est situee tres haut sur le Google.
Si vous trouvez cette offre interessante, envoyez-moi des details concernants votre site, S.V.P.
Et si vous n'etes pas interesse, pardonnez-moi de prendre votre temps.
Cordialement,
Caroline Trotter
caroline_trotter@o2.pl
Rédigé par 10
le Lundi 30 Janvier 2006, 22:22 Réagir
depuis bien longtemps...
Je n'achète pas libé depuis le n° 0. Je fis parti de ceux qui "inventaire" Libération, début des années 70 à la maison Verte à Paris. Puis des investisseurs arrivèrent et July prit le pouvoir. Je n'ai plus jamais acheté Libé Si ce journal était resté fidèle à l'esprit de sa création, càd vraiment de gauche, comme Politis par exemple, il ne serait pas en concurrence avec d'autres journaux même gratuits, car le contenu ne serait pas en concurrence.
Rédigé par Annie
le Jeudi 30 Mars 2006, 10:51 Réagir